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Judith Goudreau

Pour un modèle idéal de communication des risques !

5 octobre 2010 by Judith Goudreau 2 commentaires

Je m’intéresse à la communication des risques depuis plusieurs années, et je trouve fascinant de voir les différentes façons de communiquer dans une situation d’urgence. Que ce soit pour justifier une fausse rumeur qui court sur le Web ou pour informer des pratiques utilisées lors d’un déversement dans notre beau St-Laurent, on remarque que les personnes en autorité marchent sur des oeufs et communiquent souvent trop tard de peur de se faire « ramasser » par l’opinion publique.

J’aime bien la vision de Patrick Lagadec qui explique que le tournant de l’an 2000 a fait place à une toute nouvelle manière de gérer les crises : vitesse et globalité sont désormais les mots magiques en communication de crise. Lorsqu’il y a plusieurs années on formait les gestionnaires pour qu’ils soient aptent à préparer leur plan d’urgence, maintenant on les entraîne à être capable de faire face à l’imprévu : à être surpris, à réinventer une façon de faire à chaque événement, à user de leur gros bon sens, « à rédiger sur une page blanche », puisque les crises des années 2000 nous placent bien souvent dans une logique d’ignorance (ex. : Katrina, pandémie, World Trade Center, etc.). Pouvions-nous vraiment nous préparer à vivre ces événements ? Et, plus près de nous, peut-on mettre par écrit dans un plan tous les scénarios possibles et imaginables qui peuvent nous tomber sur la tête ?

Ma réponse est oui, dans la mesure où l’on implique et éduque beaucoup de monde dans cette préparation, que les gestionnaires sortent de leur zone de confort, fassent confiance en leurs employés et soient à l’écoute de leur principal public (le citoyen). Ce plan « idéal » est, pour moi, bien plus qu’une façon d’agir…c’est une façon de réfléchir !

Pour arriver à cette logique, il faut absolument mettre la communication au premier plan et arrêter de vouloir contrôler les moindre virgules des messages avant de communiquer à la population ce qui se passe . Plus on tarde à informer, plus les citoyens diffuseront leur propre conception de la crise et l’organisation devra (au lieu de communiquer) faire du rattrapage et démentir les rumeurs qui ont circulé un peu partout (dans les médias sociaux et traditionnels).

La présence rapide des principaux intervenants sur la scène publique et l’écoute des citoyens sont à mes yeux un gage de succès dans la gestion d’une crise (bien sûr cela n’excuse pas tout, mais au moins démontre une transparence et une bonne volonté de la part de l’entreprise).

Voilà mon idéal ! Et je termine ici en citant un collègue relationniste que j’estime beaucoup, Guy Versailles :

« Même si nous ne pouvons pas vivre pleinement cet idéal au quotidien, au moins lorsque nous entretenons une vision claire de comment les choses devraient être, nous pouvons profiter de chaque petite occasion de nous en rapprocher. » (Relations publiques!, septembre 2005).

Ce billet n’est qu’une petite introduction à une démarche qui me tient véritablement à coeur : l’éducation à la communication des risques et la préparation des citoyens en mesure d’urgence. N’hésitez pas à m’écrire vos commentaires sur cette page ou par courriel. Au plaisir de vous lire :-).

Classé sous :Communication des risques Balisé avec :Communication des risques, Éducation citoyenne, Sécurité civile

Ma mission, ma vision et mes valeurs

11 juin 2010 by Judith Goudreau 1 commentaire

Qui est Goudreau Communications ?

Pour répondre à cette question, j’ai fait l’exercice de définir ma mission, ma vision et mes valeurs. Je suis partie du principe que les valeurs de Goudreau Communications sont profondément liées au côté humain, et c’est elles qui guident les décisions de l’entreprise (les mandats choisis, les partenaires privilégiés, etc.) 

Les piliers mêmes de l’entreprise sont les gens qui gravitent autour. Ils méritent tous respect et reconnaissance dans leur travail.

Mission
La mission de Goudreau Communications est d’être un allié fiable et durable
pour les organisations qui croient en l’importance de la communication
– dans leur milieu et avec leur public –
en assurant leur pérennité dans un monde en constante évolution.

Vision

Goudreau Communications veut être une entreprise reconnue pour ses valeurs humaines et sa transparence.

Valeurs 

  • Transparence
  • Relations humaines
  • Relations clients
  • Travail d’équipe

Principes de travail

  • L’écoute et la disponibilité
  • Le réseautage et le partenariat
  • L’ouverture d’esprit

Classé sous :Gestion, Relations publiques Balisé avec :Gestion, Mission, Valeurs, Vision

Défi relevé !

31 mai 2010 by Judith Goudreau 3 commentaires

Mon premier demi-marathon en fin de semaine à Ottawa. Résultat : 2 h 13.

Voilà, nous sommes entassés au départ… des milliers de personnes sont comme moi et attendent le fameux signal. Ça y est, on l’entend. On applaudit, on crie et on commence à courir… ou plutôt à piétiner parce qu’il y a tellement monde que le départ est lent. Les gens ont le sourire aux lèvres. De mon côté, mes jambes sont molles (le facteur stress y est pour beaucoup), mais le mental est fort, car je suis bien accompagnée : mon amie Guylaine (qui est aussi à son baptême du demi-marathon) et mon amoureux (qui en est à son 3e). Plus les kilomètres passent, plus je prends de la vitesse, les gens se dispersent. Je peux dire que c’est vraiment aux alentours du 5e km, que je me sens le mieux. Le stress est parti et je profite à plein de l’événement. Le parcours est magnifique… moi qui ne connais pas très bien Ottawa et Gatineau, j’ai trouvé qu’il y a là de vrais beaux trésors à découvrir. Nous avons aussi couru sur le bord du canal Rideau. L’air était pur et tout au long de la route des gens nous encourageaient (honnêtement, c’était mon carburant). Rien de mieux que des sincères : « Let’s go » , « Good job » , « You can » pour avoir la force d’aller jusqu’au bout.

Au 9e km j’ai dû apprendre à courir avec une crampe qui a duré jusqu’au 12e km. Ensuite, au 16e km, les vraies douleurs ont commencé à se faire sentir : genoux et hanches qui manquaient d’huile et les pas de plus en plus lourds sur l’asphalte. Après le 18e Km, je commençais à compter les minutes, compter, compter et encore compter… avec quelques sourires ici et là pour les gens qui m’encourageaient (une chance qu’ils étaient là, eux!)

Et là, au loin, c’est le décompte final…750m…500m…je vois la ligne d’arrivée…Je n’en reviens tout simplement pas que c’est fini ! Tous ces mois d’entraînements. Une boule d’émotion monte en moi. Je vois mon chum et mon amie qui m’accueillent : ça y est, la boule sort et je pleure.

Malgré tous ces petits bobos et les hauts et les bas de l’entrainement, je peux affirmer que la course à pied est le sport le plus extraordinaire qui existe. Comme plusieurs le disent, c’est l’entrainement le plus naturel qui soit : le monde entier peut être votre centre d’entraînement, les routes peuvent devenir votre gym personnel, et ce, sans le moindre frais.

Alors, et vous… quel est votre prochain (ou premier) défi???

Rendez-vous dans deux semaines à Deux-Montagnes.

Classé sous :Course à pied, Gestion Balisé avec :Course, Course à pied, demi-marathon, Ottawa

Des risques éclairés

4 mai 2010 by Judith Goudreau 1 commentaire

Quand survient un événement hors de notre contrôle, la communication devient le nerf de la guerre. On constate par contre que bien des organisations tiennent pour acquis leurs réflexes de communication qui ont été jusque-là efficaces. En temps d’urgence ou de crise, les canaux et les outils d’information peuvent être complètement différents. Même les partenaires sur lesquels on pouvait toujours compter peuvent être dans l’impossibilité de répondre à nos demandes.

Prévoir l’imprévu c’est aussi accepter de perdre le contrôle sur certains aspects de l’opération et utiliser d’autres mécanismes pour communiquer. À bien des égards, les gestionnaires peuvent facilement être dépassés par les événements s’ils ne prennent pas la peine de planifier leurs actions. Selon Thierry Libeart, Magazine de la Communication de crise et sensible, « 80 % d’une gestion de crise est constituée par de la communication et que l’essentiel d’une crise réside non dans sa réalité, mais dans sa perception. »

La première chose à faire est l’analyse des risques (que ce soit des accidents technologiques, des événements découlant de la nature humaine ou bien de dame nature elle-même). Il n’y a pas que les grandes entreprises qui utilisent des produits toxiques qui doivent se préparer à faire face à une urgence : toute entreprise ou organisation qui a un minimum d’employés devrait prévoir des mécanismes de base en cas d’urgence, et surtout les communiquer à l’ensemble de leurs employés et partenaires.

La planification des communications devrait répondre à plusieurs questions : Qui sont les premières personnes qui devront intervenir ? Et quels sont leurs substituts ? Quel rôle sera donné aux employés ? Sont-ils au courant ? Quelles sont les ressources externes qui peuvent m’aider ? Ai-je un réseau de contacts ou des partenaires sur lesquels je peux compter ? Ai-je parlé de cette démarche à mes voisins (d’autres organisations qui pourraient vivre des événements similaires) ? Ont-ils un plan d’urgence dans lequel j’ai un rôle à jouer ? Ai-je testé les mécanismes d’urgence au sein de mon entreprise (avec les employés, les structures, la technologie) ? Est-ce que mon entreprise est en mesure d’aider d’autres entreprises si une situation d’urgence ou de crise leur arrivait ? A-t-on pensé aux familles des employés (a-t-on prévu des personnes ressources pour eux) ?

Les réponses à ces questions représentent en fait la pointe de l’iceberg de tout ce qu’il faut prendre en compte lorsqu’un événement non habituel se produit. Une situation d’urgence peut vite tourner en crise majeure s’il y a des failles dans les communications. Le plan de communication, même si certains gestionnaires en doute, est un outil indispensable pour aider les organisations à traverser une situation d’urgence la tête hors de l’eau.

Classé sous :Communication des risques

Site Web : les pièges à éviter

13 avril 2010 by Judith Goudreau 1 commentaire

Créer un site Web peut devenir problématique pour un jeune entrepreneur (qui pense davantage à ses opérations et à ses ventes). Et lorsqu’il faut en faire la promotion, le rendre dynamique, penser aux médias sociaux et à son référencement : cela devient un véritable casse-tête !

Dans ces cas-là, pourquoi ne pas demander à des pros de nous donner quelques conseils. C’est ce que deux de mes collaborateurs ont fait devant des gens d’affaires dans le cadre d’un déjeuner organisé par le Centre local de développement de Laval. Il s’agit de Steve Cholette de WebPointCom et de Nicolas Kolodenchuck de iBDS – Stratégie Internet.

Voici un bref résumé de leurs propos (10-erreurs-plus-frequentes-web), particulièrement pour les entrepreneurs en démarrage d’entreprise :

  1. Déterminer les objectifs du site (réfléchir au contenu à diffuser).
  2. Augmenter la visibilité Web du site (utiliser les moteurs de recherche, identifier les bons mots-clés, créer des liens vers d’autres sites).
  3. Répondre aux attentes des utilisateurs (ex. : la vente de produits implique qu’on diffuse les prix… Certaines personnes pensent qu’ils pourront donner cette information de vive voix : erreur. Vos clients potentiels seront déjà sur le site du compétiteur !)
  4. Adapter le contenu (ne pas submerger vos lecteurs avec trop d’informations).
  5. La « décoration » n’a pas sa place, c’est l’information qui a son importance (il faut privilégier un design épuré et des images de qualité).
  6. Présenter des informations sur l’entreprise (la mission, la vision et les valeurs de l’entreprise). Ici, je suis moi-même « cordonnier mal chaussé », mais je travaille sur ces aspects pour mon propre site Web – une version bonifiée sera bientôt en ligne.
  7. Utiliser une technologie compatible sur la majorité des navigateurs (on oublie trop souvent ces éléments techniques).
  8. Prendre des hébergements locaux (qui se trouvent idéalement dans la même région que votre clientèle).
  9. S’assurer que le site est terminé avant de faire son lancement (la plupart des internautes qui visitent des pages « en construction » n’y reviennent pas – il y a tellement d’autres sites qui existent où il est possible de trouver de l’information de qualité).
  10. Mettre le site à jour (être en mode « partage » avec sa clientèle afin qu’elle revienne régulièrement, consulter ses visiteurs sur certains sujets et ajouter des fonctionnalités qui correspondent à leurs nouveaux besoins).

Les personnes qui ont travaillé sur un plan d’affaires connaissent son importance avant de partir une entreprise. Le site Web est en quelque sorte le miroir de toute cette réflexion stratégique (avec, bien sûr, un effet loupe sur des éléments essentiels). Il est donc aussi important de le mettre à jour que de réviser ses objectifs d’affaires.

*** Je vous invite à visiter le blogue de WebPointCom.

Classé sous :Gestion, Relations publiques Balisé avec :communication, site web

Mes défis de l’été 2010

6 avril 2010 by Judith Goudreau Laisser un commentaire

Je fais de la course à pied depuis plusieurs années maintenant, mais cette année, ce sport (que je pratiquais nonchalamment) est devenu une véritable passion. Des stratégies de course aux souliers en passant par les styles d’entraînement – tout ce qui touche de près ou de loin à cette activité m’intéresse de plus en plus.

Je vous présente donc aujourd’hui les défis que je me lance pour l’été 2010. La vie étant ce qu’elle est avec deux jeunes enfants, je pourrais annuler certains de ces défis ou en ajouter d’autres, mais c’est le programme que je désire suivre pour l’été 2010 en ce qui concerne les circuits organisés de course à pied.

  1. Un 10 km à Laval le 11 avril : Course de Laval à Champfleury. Ici, j’ai même inscrit mon p’tit homme de 3 ans à son premier mini-marathon (1 km).
  2. Un 10 km à Québec le 2 mai : Demi-Marathon International de Québec.
  3. Un demi-marathon à Ottawa le 30 mai : Marathon d’Ottawa. Mon premier demi-marathon à vie : il me reste 52 jours d’entraînement !!!
  4. Un 10 km (ou un 5) à Shawinigan le 6 juin : Demi-marathon des pompiers de Shawinigan.
  5. Un 5 km en montagne à St-Bruno le 13 juin : Grande Virée des sentiers du Mont St-Bruno.
  6. Un 10 km au Lac Brome le 20 juin : Tour du Lac Brome Merell.
  7. Un 5 km à Dollard-des-Ormeaux le 18 août : 5 km Endurance (18e édition).
  8. Un demi-marathon (ou un 10 km) à Montréal le 5 septembre : Marathon Oasis de Montréal.

Pour les personnes intéressées à d’autres défis de course à pied, je vous invite à consulter ces sites Internet :

  • dans la région de Montréal : Circuits de course à pied ENDURANCE du Grand Montréal.
  • dans la région de la Mauricie : Circuits de course sur route – Course VO2 Max.
  • dans la région de Québec : Courir à Québec.

En terminant, si vous avez d’autres circuits de course à me faire découvrir, n’hésitez pas à me les envoyer. Il me fera un plaisir de les essayer avec mon chum ou avec des amies qui me suivent dans ce sport tellement énergisant et accessible à tous.

Bonne course !

Classé sous :Course à pied Balisé avec :Course à pied, défis, entraînement

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