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Site Web : les pièges à éviter

13 avril 2010 by Judith Goudreau 1 commentaire

Créer un site Web peut devenir problématique pour un jeune entrepreneur (qui pense davantage à ses opérations et à ses ventes). Et lorsqu’il faut en faire la promotion, le rendre dynamique, penser aux médias sociaux et à son référencement : cela devient un véritable casse-tête !

Dans ces cas-là, pourquoi ne pas demander à des pros de nous donner quelques conseils. C’est ce que deux de mes collaborateurs ont fait devant des gens d’affaires dans le cadre d’un déjeuner organisé par le Centre local de développement de Laval. Il s’agit de Steve Cholette de WebPointCom et de Nicolas Kolodenchuck de iBDS – Stratégie Internet.

Voici un bref résumé de leurs propos (10-erreurs-plus-frequentes-web), particulièrement pour les entrepreneurs en démarrage d’entreprise :

  1. Déterminer les objectifs du site (réfléchir au contenu à diffuser).
  2. Augmenter la visibilité Web du site (utiliser les moteurs de recherche, identifier les bons mots-clés, créer des liens vers d’autres sites).
  3. Répondre aux attentes des utilisateurs (ex. : la vente de produits implique qu’on diffuse les prix… Certaines personnes pensent qu’ils pourront donner cette information de vive voix : erreur. Vos clients potentiels seront déjà sur le site du compétiteur !)
  4. Adapter le contenu (ne pas submerger vos lecteurs avec trop d’informations).
  5. La « décoration » n’a pas sa place, c’est l’information qui a son importance (il faut privilégier un design épuré et des images de qualité).
  6. Présenter des informations sur l’entreprise (la mission, la vision et les valeurs de l’entreprise). Ici, je suis moi-même « cordonnier mal chaussé », mais je travaille sur ces aspects pour mon propre site Web – une version bonifiée sera bientôt en ligne.
  7. Utiliser une technologie compatible sur la majorité des navigateurs (on oublie trop souvent ces éléments techniques).
  8. Prendre des hébergements locaux (qui se trouvent idéalement dans la même région que votre clientèle).
  9. S’assurer que le site est terminé avant de faire son lancement (la plupart des internautes qui visitent des pages « en construction » n’y reviennent pas – il y a tellement d’autres sites qui existent où il est possible de trouver de l’information de qualité).
  10. Mettre le site à jour (être en mode « partage » avec sa clientèle afin qu’elle revienne régulièrement, consulter ses visiteurs sur certains sujets et ajouter des fonctionnalités qui correspondent à leurs nouveaux besoins).

Les personnes qui ont travaillé sur un plan d’affaires connaissent son importance avant de partir une entreprise. Le site Web est en quelque sorte le miroir de toute cette réflexion stratégique (avec, bien sûr, un effet loupe sur des éléments essentiels). Il est donc aussi important de le mettre à jour que de réviser ses objectifs d’affaires.

*** Je vous invite à visiter le blogue de WebPointCom.

Classé sous :Gestion, Relations publiques Balisé avec :communication, site web

La participation des citoyens en sécurité civile

27 février 2010 by Judith Goudreau Laisser un commentaire

On le sait, les risques sont partout. Que ce soit une tempête majeure, un séisme, un accident industriel, une inondation, une menace peut survenir à tout moment près de chez nous. Sans devenir « parano » avec toutes les possibilités de catastrophes qui peuvent arrivées, il faut au moins avoir une base de connaissance et de préparation personnelle.

Lorsque survient un événement où la population est appelée à évacuer son domicile ou à rester à l’intérieur de celui-ci, une chose peut faire la différence dans le niveau de panique et de crise des gens : l’état préparation. En effet, qu’est-il arrivé à plusieurs personnes qui ont évacué leur domicile lors du verglas (il y a plus de 10 ans) sans rien amener avec eux, se retrouvant dans un centre d’hébergement, avec des centaines d’inconnus et aucun objet personnel sous la main ? Stress, panique, bouleversement total ! Bien des psychologues vous le diront : le fait d’amener un ou des objets (une trousse d’urgence « prête-à-partir » ou d’autres petits objets personnels) peut être rassurant et apaisant lors de situations de crise.

Avec les catastrophes naturelles des dernières années, les gouvernements fédéral et provincial ont doublé leurs efforts de communication pour sensibiliser la population à l’importance de se préparer à toutes situations d’urgence. Programme 72 heures, programme jeunesse avec la mascotte Sécuro, brochure d’information sur des conseils en cas d’urgence, etc. Une panoplie d’outils d’information s’adressant à l’ensemble de la population.

À mon sens, ces programmes font un bon travail de communication et d’information, mais qu’en est-il du changement réel de comportement ? De la participation et de la prise en charge du citoyen pour sa sécurité dans son propre milieu de vie ? À cela je réponds que la proximité est au cœur de la réussite de tous ces programmes. Près de nous… dans notre ville, dans notre quartier, dans notre entourage,  il existe des types de risques – très spécifiques à notre propre réalité – et qui – par leur nature – influencent notre préparation personnelle. Par exemple, un citoyen qui habite près d’une rivière devrait avoir une préparation différente de celui qui demeure dans une grande ville près d’un gratte-ciel ou d’une industrie. À ce titre, les municipalités devraient être des acteurs essentiels à l’état de préparation de leurs citoyens – elles devraient avoir la responsabilité de l’éducation en matière de sécurité civile. Je parle des municipalités, mais il y a aussi des organismes locaux qui peuvent se concerter pour améliorer la connaissance des citoyens en matière de sécurité civile.

Je terminerai en donnant l’exemple de Maurice Vanier, président du Comité mixte municipalités-industries-citoyens de l’Est de Montréal (CMMIC-EM), et extrêmement engagé sur le plan de la sécurité civile, qui, avec plusieurs partenaires du milieu, élabore un Programme d’éducation citoyenne à la sécurité civile dans l’est de Montréal. Le but du programme est de sensibiliser les citoyens aux différentes menaces de leur territoire et de développer les meilleurs réflexes en cas d’urgence, en produisant des outils pédagogiques (préparation personnelle et familiale, trousse d’urgence, quoi faire en cas de confinement ou d’évacuation, etc.)

Ce programme est en phase de validation, mais j’en reparlerai certainement dans les prochaines semaines…

Classé sous :Relations publiques, Sécurité civile Balisé avec :communication, Communication des risques, Sécurité civile

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